Titre :	Qu'est-ce que j'ai fait au Bon Dieu ? : Job, la souffrance et nous
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Marie-Noëlle Thabut, Auteur
Editeur :	Paris : Artège éditions
Année de publication :	2020
Importance :	1 vol. (120 p.)
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	979-10-336-0928-5
Prix :	7,90 EUR
Note générale :	Bibliogr. p. 109-110
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Bible -- A.T. -- Job -- Critique et exégèse Job -- Personnage biblique Souffrance -- Aspect religieux -- Christianisme
Index. décimale :	223.1
Résumé :	Ouvrir le livre de Job, c'est pousser la porte de la cour d'assises dans laquelle se déroule l'éternel et grand procès de l'histoire des hommes. La victime s'appelle Job mais ce pourrait être vous ou moi, car ce procès est celui de la douleur humaine. Depuis le début de l'aventure terrestre, des hommes, des femmes, des enfants de tous les pays souffrent, parfois longuement, cruellement, et finissent, tôt ou tard, par mourir. De tout temps, ils ont gémi, pleuré, prié... en vain. Le suspect numéro un, c'est Dieu lui-même. Mais, en réalité, il n'est pas là, sur le banc des accusés ; on le juge donc par contumace.Reste que la victime n'est pas de cet avis...

Qu'est-ce que j'ai fait au Bon Dieu ? : Job, la souffrance et nous [texte imprimé] / Marie-Noëlle Thabut, Auteur . - Paris : Artège éditions, 2020 . - 1 vol. (120 p.) ; 18 cm.
ISBN : 979-10-336-0928-5 : 7,90 EUR
Bibliogr. p. 109-110
Langues : Français (fre)

Catégories :	Bible -- A.T. -- Job -- Critique et exégèse Job -- Personnage biblique Souffrance -- Aspect religieux -- Christianisme
Index. décimale :	223.1
Résumé :	Ouvrir le livre de Job, c'est pousser la porte de la cour d'assises dans laquelle se déroule l'éternel et grand procès de l'histoire des hommes. La victime s'appelle Job mais ce pourrait être vous ou moi, car ce procès est celui de la douleur humaine. Depuis le début de l'aventure terrestre, des hommes, des femmes, des enfants de tous les pays souffrent, parfois longuement, cruellement, et finissent, tôt ou tard, par mourir. De tout temps, ils ont gémi, pleuré, prié... en vain. Le suspect numéro un, c'est Dieu lui-même. Mais, en réalité, il n'est pas là, sur le banc des accusés ; on le juge donc par contumace.Reste que la victime n'est pas de cet avis...